Le livre des rues de Franconville
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Nom : Maurice DALESME (Rue)
Quartier : du Vieux Marché
Statut : Voie communale.
Longueur : 240 m.
Largeur : 5,5 m.
Début : Rue de la Station.
Fin : Rue Parmentier.
Période de création : Décision du Conseil Municipal du 4 juillet 1936.
Nom précédent : Une partie de la rue de l'Orme Saint Edme.
Origine du nom :
Né le 19 septembre 1881 à Meyssac (Corrèze), décédé le 18 novembre 1935 à 
Franconville. Ancien Président de l'Association des Anciens Combattants et Mutilés de la guerre 14–18 dont les obsèques ont été célébrées en octobre 1935. Il habitait une belle maison au coin de la rue de l'Orme Saint Edme et de l'avenue Gabriel (rue René Joly aujourd'hui). Le Conseil Municipal a décidé de donner son nom à une partie de la rue Saint Edme. Une plaque commémorative fut apposée sur sa maison, encore visible aujourd'hui.
Le Prélude à l'après-midi d'un faune, sous-titré Églogue pour orchestre d'après Stéphane Mallarmé, est une œuvre symphonique de Claude Debussy, composée entre 1892 et 1894.
L'œuvre est créée le par l'orchestre de la Société nationale de musique à Paris. La direction en fut confiée au compositeur et chef d'orchestre suisse Gustave Doret et le solo de flûte interprété par Georges Barrère (1876-1944).
Debussy écrit dans le programme imprimé : « La musique de ce Prélude est une illustration très libre du beau poème de Stéphane Mallarmé. Elle ne prétend nullement à une synthèse de celui-ci. Ce sont plutôt des décors successifs à travers lesquels se meuvent les désirs et les rêves d'un faune dans la chaleur de cet après-midi. Puis, las de poursuivre la fuite peureuse des nymphes et des naïades, il se laisse aller au soleil enivrant, rempli de songes enfin réalisés, de possession totale dans l'universelle nature.»
La formation comporte trois flûtes, deux hautbois, un cor anglais, deux clarinettes, deux bassons, quatre cors, deux harpes, deux crotales (ou cymbales antiques) et la section de cordes, soit les deux sections de violons, les altos, les violoncelles et les contrebasses.
C'est une des œuvres les plus connues de Debussy, dont le succès fut immédiat, et qui constitue le plus bel exemple de la musique impressionniste. Elle a été transcrite pour de nombreuses formations instrumentales, la plus jouée étant sans doute la réduction pour flûte (ou violon) et piano due à Gustave Samazeuilh.
Suite :
Remarques :
Avant de devenir une rue cette voie était un chemin qui allait à l’Hermitage ou château du Mail. On trouve la trace de ce château en 1456 et on peut estimer que le chemin existait à cette époque et conduisait à Argenteuil.
Initialement le chemin débutait au carrefour de la Croix Rouge pour se terminer à Argenteuil sur la butte. Il est mitoyen avec Sannois et se termine pour la partie de Franconville au château du May qui est à Sannois.
Comme d’autres chemins, il est nommé sur un plan en 1752 Chemin d’Argenteuil.
En 1885, il avait une longueur de 730 m sur 2 m de large et prenait sur le carrefour de la Croix Rouge pour se terminer après un coude à Sannois.
En 1933 il figure déjà relié au boulevard Gambetta à Sannois.
Lors de la construction de l’autoroute A15, elle est passée à 8 m en 1988 et de ce fait s’arrête à l’autoroute pour reprendre ensuite après, la partie de la bretelle de sortie de l’autoroute modifiant le parcours.
Dans la liste des chemins ruraux de 1885, il porte le n° 47 et part près de la demi-lune de la Croix-Rouge. En 1956, le texte a été repris sans modification sauf qu’il est prévu d’être classé dans la voirie urbaine à 8 m sur 111 m en 1948 nommé rue de la tuilerie.
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Louis-François Dumaine comme acteurLa dame aux camélias (1848)
Roman La dame aux camélias avec Louis-François Dumaine (1831-1893) comme acteur -
Kéraban-le-têtu (1883)
Roman Kéraban-le-têtu avec Louis-François Dumaine (1831-1893) comme acteur -
Lucrèce Borgia (1833)
Drame historique en 3 actes Lucrèce Borgia avec Louis-François Dumaine (1831-1893) comme acteur -
Les misérables (1862)
Roman publié en 10 volumes par l'éditeur Lacroix à Paris, du 8 avril au 30 juin 1862, alors que l'auteur était en exil à Guernesey. - Sa rédaction fut commencée en 1845, abandonnée en février 1848, reprise en 1860 pour s'achever en 1861 Les misérables avec Louis-François Dumaine (1831-1893) comme acteur -
Quatre-vingt-treize (1874)
Roman historique sur la Révolution Quatre-vingt-treize avec Louis-François Dumaine (1831-1893) comme acteur
------------------------------Louis-François Dumaine comme directeur de salle de spectacle-
Hamlet (1600)
Tragédie en 5 actes, en vers et en prose Hamlet avec Louis-François Dumaine (1831-1893) comme directeur de salle de spectacle -
Spectacle : Bas de cuir
Paris (France) : Théâtre de la Gaîté - 31-03-1866 -
Spectacle : Cadet La Perle
Paris (France) : Théâtre de la Gaîté - 23-11-1866 -
Spectacle : L'homme aux figures de cire
Paris (France) : Théâtre de la Gaîté - 10-10-1865 -
Spectacle : Jean La Poste
Paris (France) : Théâtre de la Gaîté - 23-10-1866
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L'affaire Dreyfus est un conflit social et politique majeur de la Troisième République survenu à la fin du XXIe siècle, autour de l'accusation de trahison faite au capitaine Alfred Dreyfus qui est finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l'innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité.
La condamnation fin 1894 du capitaine Dreyfus — pour avoir prétendument livré des documents secrets français à l'Empire allemand — était une erreur voire un complot judiciaire sur fond d'espionnage, dans un contexte social particulièrement propice à l'antisémitisme et à la haine de l'Empire allemand à la suite de son annexion de l'Alsace et d'une partie de la Lorraine en 1871. L'affaire rencontre au départ un écho limité, avant qu'en 1898 l'acquittement du véritable coupable et la publication d'un pamphlet dreyfusard par Émile Zola, J'accuse…!, provoquent une succession de crises politiques et sociales. À son paroxysme en 1899, l'affaire révéla les clivages de la France de la Troisième République, où l'opposition entre les camps dreyfusard et antidreyfusard suscita de très violentes polémiques nationalistes et antisémites, diffusées par une presse influente. Elle s'acheva en 1906, par un arrêt de la Cour de cassation qui innocenta et réhabilita définitivement Dreyfus.
Cette affaire est souvent considérée comme le symbole moderne et universel de l'iniquité au nom de la raison d'État, et reste l'un des exemples les plus marquants d'une erreur judiciaire difficilement réparée, avec un rôle majeur joué par la presse et l'opinion publique.
Paul Doumer
Né à Aurillac (France) le 22/03/1857 ; Mort à Paris (France) le 07/05/1932
Paul Doumer est un homme d'État français. Il est élu président de la République en 1931 et est assassiné un an plus tard.
D'origine modeste, Paul Doumer commence à travailler à l'âge de 12 ans comme coursier. En 1877, il obtient une licence de mathématiques et est nommé professeur au collège de Mende. Il abandonne l'enseignement six ans plus tard et se lance dans le journalisme en prenant le poste de rédacteur en chef du ''Courrier de l'Aisne'', puis en fondant ''La Tribune de l'Aisne'', nettement plus à gauche. En 1885, il est élu conseiller municipal de Saint-Quentin, puis député en 1888. Il siège avec la gauche radicale. Il se spécialise dans les questions financières et soutient un premier projet d'impôt sur le revenu, finalement repoussé. Il est même brièvement ministre des Finances entre 1895 et 1896, puis est nommé gouverneur général de l'Indochine en 1897. Il y reste cinq ans.
Réélu député en 1902, il siège cette fois du côté de la gauche modérée et préside la commission des finances, puis la chambre des députés de 1905 à 1906. Il présente sa candidature pour l'élection présidentielle de 1906, mais c'est finalement Armand Fallières qui porte les couleurs de la gauche. Paul Doumer perd son siège de député en 1910, mais est élu sénateur en 1912. La Première Guerre mondiale lui enlève quatre fils, morts pour la France. Dans les années 1920, il est de nouveau ministre des Finances à deux reprises, prend la présidence du Sénat en 1927, et tente encore sa chance à l'élection présidentielle. Le 13 mai 1931, il devient le quatorzième président de la République française. Son mandat ne dure qu'un an puisque le 6 mai 1932, il est atteint de plusieurs balles tirées par un fanatique russe, Paul Gorgulov. Paul Doumer s'éteint dans la nuit suivante.