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Le livre des rues de Franconville
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Dumas ensemble rue
 


Nom  :
Alexandre DUMAS (Rue)


Quartier
: du Vieux Marché
Statut : Voie communale.

Longueur 
: 225 m. Largeur
: 5,80 m.

Début
: Boulevard Maurice Berteaux.

Fin
: Rue du Plessis Bouchard.

Période de création
: Figure sur un plan de 1910.


Origine du nom
: Dit Alexandre Dumas père, écrivain français né le 24 juillet 1802 à Dumas personnageVillers-Cotterêts (Aisne) et mort le 5 décembre 1870 à Puys (Seine-Maritime).

Petit fils de Thomas Alexandre Davy de la Pailleterie et de Marie Cisette Dumas esclave dominicaine fils de Thomas dit général Dumas 1762 - 1806, « mulâtre » de Saint-Domingue, premier général ayant des origines afro-antillaises de l'armée française. Père de l'écrivain Alexandre Dumas (1824-1895) dit Dumas fils, auteur en particulier de La Dame aux camélias.

 

 

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Dumont ensemble rue


Nom  :
  Marius  DUMONT (Rue)


Quartier
: du Vieux Marché


Statut
: Voie communale.


Longueur 
: 225 m.


Largeur
: 5 m.


Début
: Rue du Plessis Bouchard.


Fin
: Rue du Docteur Roux.


Période de création
: Figure sur un plan de 1884.


Remarque
: Le 23 septembre 1932, raccordée au tout à l'égout.

 

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Dunant ensemble rue


Nom  : Henri
DUNANT (Rue)


Quartier
:
Jean Monnet

Statut : Voie privée en impasse.


Longueur 
:
100 mLargeur : 4,50 m.

Début : Rue du général Leclerc.


Période de création
: Décision du Conseil municipal du 7 septembre 1986.


Origine du nom
:
Dunant personnageN
é le 8 mai 1828, à Genève et mort le 30 octobre 1910, à Heiden, est un humaniste et homme d'affaires suisse. Il est l'un des fondateurs de la Croix Rouge. Pendant un voyage d'affaires en juin 1859, il découvre près de Solférino les dégâts humains de la bataille qui s’y déroula.


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Eglise ensemble rue


Nom  :
   EGLISE (Rue de l')


Quartier
: des
Fontaines

Statut : Voie communale.


Longueur 
: 120 m. Largeur : 5 m.

Début : Rue du Général Leclerc.

Fin : Rue Gabriel Bertin.


Période de création
: 22 octobre 1968.


Origine du nom : Proche de l’église Sainte Madeleine, reconstruite et bénie le 19 juin 1904.

Remarques : Se situe à l’emplacement des deux anciennes églises et de l’ancien Eglise Carte Postalecimetière de Franconville. La première église fut recensée vers 1205, construite par Jean Bateste, seigneur de Franconville, qui y fut enterré. Détruite durant la guerre de 100 ans, une nouvelle église fut construite vers 1450, elle sera démolie en 1905.


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Epine rue ensemble rue


Nom  :
    EPINE GUYON (Rue de l')


Quartier
:
de l'Epine Guyon.

Statut : Voie communale.


Longueur 
: 500 m.

Largeur : 6 m.

Début : Rond point de l'Europe..

Fin : Rue de la Côte Rotie.


Période de création 
: Figure sur un plan de 1910.

Nom précédent : Figure sous le nom de chemin de l’Epine Guyon N° 22.


Origine du nom
:

Nom du lieu dit Epine Guyon figurant sur un plan de 1732


Remarque
: Le 13 mai 1950, raccordement au réseau électrique

 
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Epine chemin ensemble rue


Nom  :
   EPINE GUYON (Chemin de l')

Quartier : de l'Epine Guyon

Statut : Impasse.

Longueur : 45 m.   Largeur : 5 m.

Début : Rue de l'Epine Guyon.

Période de création : Sur le plan d’urbanisme de l’aménageur les rues sont dénommées dès 1964.

Origine du nom : Nom du lieu dit Epine Guyon figurant sur un plan de 1732.
Cette petite voie actuellement en impasse, est la seule partie restante de l'ancien tracé du Chemin de l'Epine Guyon, suite à l'urbanisation importante de ce quartier dans les années 1960. Le Chemin de l'Epine Guyon qui débutait alors Rue du Docteur Roux était un simple chemin agricole en terre battue revêtu de mâchefer. C'était l'une des principales voies d'accès des agriculteurs (dont beaucoup habitaient au centre de Franconville) pour rejoindre leurs champs ou leurs vergers, situés dans la plaine de l'Epine Guyon. (triangle formé actuellement par la Rue de l'Epine Guyon, la Rue de la Côte Rôtie et l'Avenue des Marais). Tous les jours, et en particulier à la période des récoltes, on pouvait les voir passer avec leurs chevaux tirant des charrettes à grandes roues emplies de cageots de fruits et légumes pour être vendus sur les marchés locaux. Le reste de l'année, c'était le passage des gros engins agricoles pour les travaux des champs (charrues, herses, rouleaux...) (source Aldo Salvador)