De son nom exact François-Anatole Thibault, écrivain et critique littéraire français, né le 16 avril 1844 à Paris, mort le 12 octobre 1924 à Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire). Une des consciences les plus significatives de son temps, s’engageant en faveur de nombreuses causes sociales et politiques du début du XXe siècle.
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Il est élu académicien français en 1896 et reçoit le Prix Nobel de littérature en 1921. Auteur de Crainquebille, Thais, le crime de Sylvestre Bonnard, le rôtisseur de la reine Pédauque. Républicain sincère, il prend part à la défense de Dreyfus. Lors de la révolution d’octobre, il prend la tête d’un mouvement d’intellectuels français pour la défense de l’union soviétique. Il adhère au PCF en 1921.
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Biographie d'Anatole France :
Jacques Anatole François Thibault, de son vrai nom, écrivain français, dont le père était libraire. Il commence sa carrière par la poésie avant de s'orienter vers la prose. D'abord bibliothécaire au Sénat, il collabore à diverses revues puis rédige les chroniques littéraires du journal "Temps", de 1866 à 1893.
Anatole France acquiert la notoriété avec "Le crime de Sylvestre Bonnard" (1881). Au fil des ans, il s'intéresse de plus en plus aux problèmes politiques. Avec son ami Emile Zola, il signe la pétition des intellectuels en faveur d'Alfred Dreyfus. Dans "Histoire contemporaine", il décrit de manière très fine les problèmes de son temps tels qu'il les perçoit en animant le Salon de Mme de Caillavet, son égérie. "L'île des pingouins" (1908) est une vive critique des professionnels de la politique. Il publie également des romans historiques : "Les dieux ont soif" (1912), "Le petit Pierre" (1918).
Son œuvre littéraire est plus classique, moins progressiste que ses engagements politiques et humanistes. Mais son sens de la formule est aiguë ("On croit mourir pour la patrie et on meurt pour des industriels"). Son scepticisme et son ironie transparaissent à travers ses romans où il dépeint un monde que le fanatisme rend cruel. Anatole France participe au mouvement de la Libre Pensée, fait qui est souvent omis par ses biographes. Dans la "Révolte des Anges", il exprime ses idées sur la religion, sur Dieu, sur la vie.
Il est élu académicien français en 1896 et reçoit le Prix Nobel de littérature en 1921. Auteur de Crainquebille, Thais, le crime de Sylvestre Bonnard, le rôtisseur de la reine Pédauque. Républicain sincère, il prend part à la défense de Dreyfus. Lors de la révolution d’octobre, il prend la tête d’un mouvement d’intellectuels français pour la défense de l’union soviétique. Il adhère au PCF en 1921.
La fontaine des Boulangers et le lavoir attenan, sont construits en 1783 et 1784. Cette fontaine était appelée ainsi car les boulangers de Franconville y puisaient l’eau dont ils avaient besoin pour faire leurs pains.
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Selon M. Fouet instituteur et directeur d'école à Franconville en 1897, la fontaine des boulangers fut reconstruite en 1790 sur décision du Conseil Municipal. Elle fut construite par les habitants au titre de prestations en nature. Sa reconstruction aurait nécessité l’utilisation de 2000 tuiles, ce qui laisse penser à un bâtiment de surface importante.
En 1818, décision de reconstruire la fontaine des Boulangers, en 1821, décision de reconstruire le lavoir.
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A la tête de la IX armée, il contribua à la victoire de la Marne en 1914. En 1917, il devient chef d’état major de l’armée française en remplacement de Pétain. En 1918, il est nommé généralissime des armées alliées. Il lança l’offensive général en août 18. FOCH signe l’armistice le 11 novembre 1918. En novembre 1918, il est nommé à l'Académie des sciences, et élu à l’Académie française. Il critiqua les clauses punitives du traité de Versailles.
Nom : GRIBELETS (Rue des)
Quartier : de l'Epine Guyon
Statut : Voie privée impasse.
Longueur : 130 m.
Largeur : 3 m.
Début : Rue de l'Epine guyon.
Période de création : Sur le plan d’urbanisme de l’aménageur les rues sont dénommées dès 1964.
Origine du nom :
En vieux français un « gribel » ou « gribeloir » était un crible. Il s'agit peut être d'un diminutif. Le verbe « gribeler » signifiait passer au crible.