Jean Lurçat est un peintre, céramiste et créateur de tapisserie français, né à Bruyères (Vosges) le 1er juillet 1892 et mort à Saint-Paul-de-Vence le 6 janvier 1966.
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Son œuvre abondante est marquée par un symbolisme original qui a renouvelé la production de la manufacture d’Aubusson. Il s’est également illustré dans des domaines aussi variés que la peinture, l’estampe, le vitrail, la céramique ou comme décorateur de théâtre. Frère de l’architecte André LURCAT.
En 1939, il s’installe à Aubusson où la manufacture nationale tissa un grand nombre de ses œuvres dont « La Liberté », d’après le poème de Paul Eluard et tissée clandestinement en 1943. Dès 1941, il participe à la Résistance dans le Lot. Les SS incendiaient son atelier de Lanzac, il adhère au PCF en 1945.
Nom : HOSTELLERIE (Rue de l')
Quartier : des Fontaines.
Statut : voie communale.
Longueur : 400 m.
Largeur : 5,50 m.
Début : Rue du relais.
Fin : Rue du relais.
Période de création : Durant les années 1970
Origine du nom :
Hôtel-restaurant de caractère, élégant et luxueux.
Nom : HURTEAU (Rue du sergent)
Quartier : du Séquoia de la Gare.
Statut : voie communale.
Longueur : 90 m. Largeur : 5 m.
Début : Chaussée Jules César.
Fin : Rue de la Station.
Période de création : 25 août 1946.
Nom précédent : Chemin de la Justice.
Origine du nom : Sergent de l'armée américaine né à Malone aux Etats-Unis le 24 mai 1922. En 1943, il a reçu une instruction militaire au camp de Hood (Texas), avant d’être transféré au camp de Polk (Louisiane). En décembre 1943, il a rejoint l’Angleterre. Tué à Franconville le 28 août 1944 à 18 heures à l'âge de 22 ans.
Il débarque sur la plage d'Omaha Beach avec le 113° Régiment.
Tué d'une balle dans la tête après que son char fut touché par un obus allemand de 75 mm. Inhumé à Franconville le 31 août 1944, son corps repose depuis octobre 1948 dans le cimetière de Malone (Etat de New York) sa ville natale. Mort pour la France.
Nom : HOTEL DE VILLE (Bd de l')
Quartier : de l'Hôtel de Ville.
Statut : voie communale.
Longueur : 462 m.
Largeur : 6 m.
Début : Rue d'Ermont.
Fin : Rue de la Station (face à l'hôtel de ville)
Période de création : vers 1976.
Origine du nom :
Bâtiment où se trouvent les différents services administratifs de la commune et dans lequel siège le conseil municipal. Le terme de mairie est également utilisé.
Nom : Charles-Paul de KOCK (Rue)
Quartier : du Vieux Marché.
Statut : Voie privée en impasse.
Longueur : 100 m. Largeur : 3,50 m.
Début : Rue de la Station.
Période de création : Figure sur un plan de 1910.
Origine du nom : Charles-Paul de Kock est un romancier et auteur dramatique français, né le 21 mai 1793 à Passy et mort le 29 août 1871 à Paris 10e. Romancier populaire, fécond et truculent, il peignit les petites gens de Paris. Egalement l'auteur de près de deux cents drames et vaudevilles, dont Madame de Valnois (1814), Georgette ou la Nièce du Tabellion (1820), Gustave ou le mauvais sujet (1821), La pucelle de Belleville (1834). Compositeur de nombreuses chansons, dont la plus célèbre, « Madame Arthur », écrite vers 1850 et chantée par Yvette Guilbert dans les années 1920.